Le Good Design est innovant.
Les progrès technologiques constants amènent de nouvelles possibilités de design innovant, et les deux champs doivent continuer à se développer ensemble.
De 1955 à 1997, l’architecte allemand Dieter Rams a été designer pour l`entreprise de fabrication Braun. Au fil des ans, il a donné plusieurs conférences sur le design et durant les années 1970, il a dicté les premières règles qui définissent le Good Design. Au départ, la liste comptait six principes; en 1985, elle en comptait dix. La version actuelle de cette liste date de 2003.
Les progrès technologiques constants amènent de nouvelles possibilités de design innovant, et les deux champs doivent continuer à se développer ensemble.
Rams a déclaré : « Un produit est acheté pour être utilisé. » Pour être utile, un produit doit être efficace, facile d’emploi et agréable à regarder.
La beauté inspire des émotions positives chez les êtres humains. La présence de beaux objets dans notre environnement favorise donc notre bien-être, soit l’un des objectifs du Good Design.
Le Good Design est convivial. Le consommateur doit être en mesure d’utiliser le produit sans avoir à déchiffrer des directives compliquées.
Un emballage intelligent et un marketing efficace ne remplacent pas une réelle utilité. Un objet qui respecte le Good Design parle de lui-même.
Le Good Design devrait révéler une beauté sobre, dans sa plus simple expression. Elle ne devrait jamais être tape-à-l’œil ni imposante.
Le Good Design n’est pas tendance; il ne se démode jamais.
Un objet issu du Good Design prévoit exactement ce qui est nécessaire à son bon fonctionnement, ni plus ni moins.
Les matériaux, les méthodes de fabrication et le fonctionnement du produit sont tous pensés dans le respect de l’environnement.
Le Good Design vise la simplicité, tant pour l’apparence que pour le fonctionnement.